Antonio GOMEZ-MUNOZ

Nous avons appris avec une grande tristesse le décès de votre époux Antonio Gomez. Nous aimions l’écouter jouer de la mandoline à l’occasion de la fête des voisins, nous parler de son Espagne et nous gardons en mémoire sa discrétion. Nous partageons votre peine dans ce moment douloureux. Recevez toutes condoléances et nos plus chaleureuses pensées.

Toutes nos condoléances dans cette épreuve difficile. C’est avec tendresse que nous nous souvenons de ses fêtes annuelles chez lui et sa générosité. Toutes mes pensées vont à sa famille

C est avec beaucoup de tristesse que j ai appris le décès de "Mr Gomez"... cela me replonge dans mes années de collège et de lycée avec Emmanuel... et dans ces semaines passées à Salamanca, à faire la fête jusqu au bout de la nuit. Quelle que soit l heure, Antonio était toujours là à une terrasse avec des amis, avec le sourire et le son des guitares autour de lui. Alors en ce jour, je pense à Emmanuel qui a perdu son père, mais bien sûr également à sa mère, son frère et sa sœur qui ont tous marqué, comme Antonio, un moment de ma vie. Toutes mes condoléances. Arnaud

C est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès de M Gomez.
Nous nous connaissons depuis 50 ans et nous garderons de lui sa convivialité, son goût pour les rencontres entre amis au son de sa guitare.Les années ont passé mais nous avions toujours du plaisir à échanger sur nos familles, au détour d une rue .
Nous sommes actuellement en Province mais très proches de vous par la pensée dans ces moments douloureux
Toutes nos sincères condoléances.
P et M Lecaudey et leurs enfants

Je viens d'apprendre avec une infinie tristesse le décès d'Antonio.
Nous nous étions rencontrés un soir tard sur le quai de la gare de Viry-Châtillon, rentrant du CNAM, il y a un peu plus de 40 ans.
Nous nous étions aperçus fortuitement que nous faisions presque les mêmes études.
Grâce à Antonio, j'avais découvert que les mathématiques pouvaient être esthétiques (notamment les Fractales).
J'avais, au court des années, goûté aux milles facettes de son érudition.
Par dessus tout, j'avais été touché par son indulgence à l'égard du genre humain. D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais entendu Antonio dire un mot plus haut que l'autre sur qui que ce soit.

Toutes nos pensées vont à Evelyne, Emmanuel, Julian, Eléonore, ainsi qu'à leurs familles, dont nous imaginons l'immense douleur.
Philippe ROQUES